Visite au généralissime

Alénor n'eut aucun mal à retrouver le bureau qui avait si longtemps été celui de Bradley. A cette pensée, elle se pétrifia le regard fixé sur la porte.

° Je dois lui en parler, c'est sûrement important °

Rassemblant son courage, elle eut une pensée pour ses frères et frappa à la porte du bureau de Tsen.

"Entrer!!"

lui geula ons dessus

Tsen etai assis a son bureau d'un air enerver

"Qu'y a t'il??"

Damanda t'il

A se moment la il reconnut Alenor

"Ah, c'est toi, comment sa va?"

Et sa colere disparut.

Alénor avait attendu durant de longues minutes la réponse de Tsen... Compte tenu de ce que les gens racontaient, elle fut réellement soulagée quand il lui dit d'entrer ( bien qu'il parut passablement énervé )...

Elle entra dans la pièce et se jeta dans les bras de Tsen, les larmes aux yeux

" Tu vas bien !.... j'ai entendu de nombreuses rumeurs... il se passent des choses bizarres, au sud ..... "

Se rendant soudain compte de son erreur, elle s'écarta et regarda Tsen dans les yeux en effectuant le salut règlementaire.

Elle ajouta, terriblement embarassée :

" Généralissime... "

Tsen lui adressa le salut de retour

Et embrassa Alenor sur la joux.

"Ne tinquiette pas, j'ai envoyer mes melleur hommes"

Tsen sourit, il etai vraiment content de la visite que lui fesait Alenor.

"Et, que me vaut cette visite??"

Lui demanda t-il.

Alénor ne parvenait pas à se controler, elle avait été tellement inquiète pour Tsen que ses mains tremblaient... Elle aurait souhaité ne pas pleurer devant lui mais elle en était incappable.
Lorsqu'il l'embrassa sur la joue, elle lui sourit et pris sa main dans la sienne.

" Je... enfin... pardonne-moi... j'avais si peur pour toi... S'ils s'en prennent à l'armée, tu ne peux qu'être la cible principale..."

Elle ne pouvait plus retenir ses larmes ; elle posa la tête sur l'épaule du généralissime, essayant en vain de se détendre.

Tsen prit Alenor dans ses bras et la serra tendrement, il laissa la pauvre fille sangloter sur son epaule en la consollan en disant des mots dous et en la carresant sur le dos

"N'e t'inkiette pas, meme si ils parviennent a arriver jusqu'a moi il devront toujours m'affronter et se ne sera pas si facile, tu sait sa he??"

Tsen sourit en regardant Alenor dans les yeux...

Alénor se détendit peu à peu dans les bras de Tsen ; sérrée contre lui, tandis qu'il lui caressait le dos et lui murmurait des paroles réconfortantes, elle songea un instant que rien ne pouvait arriver, elle aurait souhaité rester ainsi une éternité...
Elle n'avait plus aucune envie de pleurer et se trouva stupide d'avoir ainsi cédé à la panique.

Le regard plongé dans celui de Tsen, elle lui sourit tendrement.

Elle passa une main dans son dos et de l'autre elle lui caressa doucement la joue...

" Je te fais confiance, mais je ne veux pas que tu courres un tel risque "

Elle marqua une pause, sa main toujou posée sur la joue de Tsen.

" Tu te souviens, le jour de mon examen, la question que tu m'avais posée..."

Elle le serra plus fort contre elle, le regardant toujours dans les yeux.

" Maintenant, je connais la réponse... Je sacrifirais tout pour toi, et pour toi seul "

"Je le sais tres bien, mait je ne te demanderai jaimais une tel chose."

Tsen se detacha doucement de Alenor et alla s'assoir a son bureau.

"Dit moi, pourquoi es-tu ici? Je ne peut croire que tu sois venu jusq'ici juste pour me dire sa, y-a t'il quelque chose qui te tracasse?"

Lui demanda Tsen

Lorsque Tsen se fut assis à son bureau, Alénor baissa les yeux. Elle repris conscience qu'il était généralissime et qu'elle lui devait une allégeance totale.

" A mes yeux, ta vie passera toujours avant la mienne ; si tu me demandes le contraire, ces ordres constitueront les seuls auxquels je n'obéirai pas. "

Puis, Tsen lui demanda à nouveau pourquoi elle était ici. Jusqu'alors, les attaques du Sud lui avaient parues un obstacle d'une importance incroyable, et constituaient à elles seules le motif de sa visite ; elle n'était plus sûre de rien. Ces derniers jours, qu'elle avait passés seule à Central, l'avaient démoralisée... pour ne pas dire effrayée. Sa seule source de réconfort au beau milieu de ses inquiétudes avait été ses pensées pour Tsen ; elle n'en connaissait pas les raisons, mais il avait été le seul en mesure de la calmer. Elle répondit au généralissime en sachant pertinemment qu'elle mentait, mais elle-même n'aurait su dire pourquoi.

" Non, il n'y a rien de plus. "

" ...Je suis désolée..."

Elle fixait obstinément le sol, s'interdisant fermement de pleurer à nouveau... Une sensation de froid l'envahit.

Tsen lui répondit gentiment:

"Tu peut alors disposer, mait je t'invite un de ses jours pour aller boire un cafe"

Avec un sourire Tsen referma la porte du burea et Alenor se retrouva dehors.

Je locke